"Nous sommes tous de ces gens-là". Quelques conseils de lecture pour une ministre qui a oublié ses fondamentaux.
Apéro
Édito
Les livres, parfois, ce sont aussi des opinions. On les partage et on en débat.
Quand le raid de Bolloré sur l'édition hexagonale constitue une menace réelle et forte sur la possibilité de pluralisme. L'édition sans éditeurs.
Un édito en forme de réflexion sur le temps de la culture qui vient après le temps de la justice. « Pour que l’émotion artistique fasse que rien ne s’efface mais qu’au contraire tout imprime."…
La France Bartleby qui ne vote pas et ne se projette pas vers l'avenir, c'est un peu comme Deauville sans Trintignant.
Un passé plein d'à présent. C'est ce qui saute aux yeux en ce dimanche. Avec un chef d’œuvre, l'Ukraine et l'histoire d'un lycéen des années 90.
Dire à ceux qu'on aime qu'on les aime. Un édito du 6 juin, avec l'amour qui l'emporte toujours. En Ukraine comme en 1944.
Quand une amie américaine nous écrit. Il est question des Américains, des armes, de Jim Harrison, et de Philip Roth.
Être vivants et le savoir. Des mots prononcés à Cannes par Vincent Lindon qui résonnent avec une littérature.
Quand un mot d'Andreï Kourkov conduit à d'autres mots. A la perte, aussi. Pour ensuite retrouver l'usage des mots. Pour gagner.
Les envies dominicales varient entre les mots qui perdent leur sens, les atermoiements du monde, et la réinvention de notre art érotique.