Quand la science politique et la littérature se rejoignent. Cela donne une note sur la jeunesse après nous qui rappelle le livre de Nicolas Mathieu.
Apéro
Édito
Les livres, parfois, ce sont aussi des opinions. On les partage et on en débat.
Quand Disney nous dit quoi penser et nous inflige du "Culturellement dépassé", c'est à se demander si notre époque ne fabrique pas un monstre : celui des vérités indépassables.
Où il est question des imbéciles qui manifestent en usant des mauvais symboles, de James Ellroy, de Baudelaire et de la terrestre beauté.
Quand Zemmour, Moix et compagnie se muent en Patrick Bateman de la pensée. Ils sont des criminels du sens et de l'intelligence.
Dire les noms des morts. Crucial dans nos temps où la mémoire se brouille.
Nous changeons d'heure. Faisons de cette heure, une heure magique. Etirons la à l'infini dans le delta lumineux entre la lune et le soleil.
Quand les babascools et les bazookas de la laïcité nous tendent un piège. Urgent de relire les livres. Et de revenir au B.A.BA.
Quand la presse se rêve en romancière, cela donne le crash journalistique de l'affaire de Ligonnès. Retour sur un week-end de roman.
Hussards de la République, nos instituteurs. Et si, en mémoire de Christine Renon, ils redevenaient des héros romantiques de l'art et de la littérature ?
Le livre de Riss est sublime. Il dit aussi nos lâchetés. Le combat pour la liberté d'expression et la laïcité doit continuer. Ensemble.