Et si l’on vous donnait des bonnes nouvelles ? C’est ce qui guide ce papier #vendredilecture, connu ici sous l’appellation du “Livre du vendredi”. D’abord, première bonne nouvelle, il est désormais possible de passer à…
Apéro
Le livre du vendredi
Le coup de cœur hebdo d'Ernest
Il nous fallait bien un épisode de Corona Lecture avec Bret Easton Ellis. Forcément. Avec son premier roman. Une claque littéraire puissante.
John Fante est un monument de la littérature américaine. Son héros Arturo Bandini est un anti-héros attachant et charmant. On vous les fait rencontrer.
Ernest Hemingway. Forcément. On ne pouvait pas faire de Corona Lecture sans Ernest Hemingway. L'adieu aux armes est pour vous.
Cette semaine, le livre du vendredi est présenté par Frédéric Potier. C'est un thriller politique haletant et interpellant sur notre relation aux autres. Indispensable.
Extrêmement fort, incroyablement près. Ce roman est sublime. Il part d'une tragédie pour faire de la poésie. Le moment idéal pour vous le lire.
Pour sortir de l'absurdité de la période et entendre la plus belle utilisation de l'absurde grâce à Groucho Marx. Comme nous, devenez marxiste tendance Groucho !
Le bleua azur, c'est ce que nous vous emmenons voir, ce soir, avec le livre de "Corona Lecture". C'est parti. Le bleu, c'est par là.
L'humanité des mots de Réné Char sont des outils très utiles en ce moment. Très très utiles. On en partage quelques uns avec vous.
Les sans-grades aujourd'hui sont ceux qui, en confinement font tourner notre société. Ils sont les essentiels. Hommage avec Steinbeck et Lennon.