Dans les affres de la création, l'auteur fait des aller-retour. En permanence. Entre le vide et le plein. Pour mieux capter le monde et le rendre sensible. Et si nous faisions pareil ?
Apéro
Édito
Les livres, parfois, ce sont aussi des opinions. On les partage et on en débat.
Et si la mission chinoise sur la face cachée de la lune nous donnait une indication sur la façon d'appréhender les choses en 2019 ?
Quand l'autre et l'altérité peuvent être au cœur de nos projets pour la nouvelle année. Cela pour agir en fraternité et non en barbarie.
Et si notre capacité à s'émerveiller était le début de la sagesse ? Notre émerveillement de Noël est aussi notre édito.
Indélébiles traces laissées par les attentats. Pour les effacer ou les atténuer, nous avons collectivement le rire. Rions ensemble. Collectivement, avec Luz, Cabu et les autres.
Un édito qui rappelle le besoin d'équilibre et s'applique à souligner l'équilibre et la nuance ne sont pas des consensus mous.
Quand Paul McCartney, mais aussi l'art en général sont nos planches de salut dans une société toujours plus liquide et incertaine. Ensemble.
Quand un évènement d'actualité nous rappelle et nous montre que la société d'hubris généralisé est une forme de décadence civilisationnelle.
Plus la société devient liquide, plus il est urgent de recréer du commun, notamment à travers l'art. Quand le philosophe Zygmunt Bauman nous inspire.
Pour commémorer les prix littéraires, mais aussi le sacrifice des poilus de la Grande Guerre, ce dimanche, Ernest prend les chemins de traverse. En route.