Avec ses variations sur les Bleuets et la couleur bleue, Maggie Nelson signe en fait un éloge de la nuance radicale. Indspensable et poétique.
Apéro
Édito
Les livres, parfois, ce sont aussi des opinions. On les partage et on en débat.
Et si un écrivain incarnait un pays ? Hugo, Stendhal, la France et nous. Ce que les écrivains disent de nous.
La mélancolie peut nous gagner. L'actualité nous déprime. Heureusement, l'art est là pour nous sauver. Le livre d'Eva Bester également.
Moix est un symptôme. Celui de la perte de sens, celui de cette pensée conservato-réactionnaire qui est montée au pinacle.
Laurent Binet avec son nouveau livre signe un roman festif et joyeux, mais interroge aussi le mot de civilisation. Passionnant.
Albert Camus nous parle de l'été. On aime, forcément.
Les pères sont-ils les oubliés de la littérature ? On pose la question dans l'édito de la fête des pères.
Se souvenir d'Omaha Beach. C'est se souvenir de ce que l'intelligence collective permet. C'est se souvenir de la lumière qui surgit toujours des ténèbres.
Quand on cherche à reprendre du souffle, on se tourne vers l'avenir. Et si non regardions plutôt le temps présent ?
L'Europe c'est une trajectoire. Cela est d'ailleurs l'enseignement que l'on peut tirer de toutes la littérature européenne. Ensemble.