Ils s'appellent Frédéric Potier, Thomas Bronnec, Dominique Manotti, et ils s'emparent de la politique et du social pour créer des fictions puissantes qui emmènent le lecteur dans les coulisses du pouvoir. Superbes !

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Lire c’est aussi s’inspirer. Et cela peut aussi nous donner des clés pour comprendre le monde. La preuve.
Ils s'appellent Frédéric Potier, Thomas Bronnec, Dominique Manotti, et ils s'emparent de la politique et du social pour créer des fictions puissantes qui emmènent le lecteur dans les coulisses du pouvoir. Superbes !
Le dernier livre d'Annie Ernaux transporte le lecteur dans un étonnant jeu de miroirs. Avec la vie, des lectures passées et avec l'autrice.
Le roman photo est un exercice qui ne supporte pas la tiédeur. Fabcaro en fait la douloureuse expérience avec "Guacamole vaudou", un album raté qui ne fait pas honneur au genre.
Dans l'entre-deux tours, c'est Simone Veil qui adresse sa lettre à France, tandis que le spectre de l'arrivée de l'extrême droite au pouvoir devient bine réel. Ses mots pèsent comme un avertissement qu'il faut entendre.
C'est au tour de Georges Marchais, emblématique secrétaire général du PCF dans les années 70 d'écrire une lettre à France. On y retrouve sa gouaille et son franc-parler. Son sens de la formule, aussi.
Fidèle à lui-même, Philippe Séguin livre une analyse laconique de la campagne électorale et s'interroge sur les bénéfices du ralliement de Jean-Pierre Chevènement à Emmanuel Macron.
Le nouveau roman de Benoît Vitkine, "Les loups", raisonne de façon troublante avec le conflit russo-ukrainien. L'auteur y raconte la lutte d'un peuple écartelé entre la tentation occidentale et l'influence des oligarques russes.
C'est au tour de Pierre Mendès France que d'écrire une lettre à France dans le cadre de cette campagne présidentielle. Ciselée grâce à la plume de Stéphane Nivet.
Cette semaine, c'est François Mitterrand qui nous parle de cette campagne 2022. Il écrit notamment à Anne. Puissant. Comme toujours