Patatras ! Alors que nous l’avions quitté joyeux et cheveux au vent sur son scooter prêt à vivre l’aventure, Jérémie Peltier est de retour. Un brin chafouin. Quoi, comment ? A peine quinze jours de déconfinement et voilà que nos débats imbéciles ont déjà repris leurs droits. Du coup, Jérémie vous propose une alternative vivifiante, littéraire et philosophique : cultiver notre esprit d’enfance ! Nous on a commencé, et c’est génial !
Les vacances sont terminées. Tout le monde s’est fait beau et propre pour la rentrée des classes, le retour au bureau ou à Pôle emploi. Chacun a pris soin de sa petite personne afin de donner à voir aux autres son plus beau visage et sa silhouette jeune mais dynamique (« …monsieur Leblanc »). Il faut dire qu’il y avait un peu de boulot pour compenser les 2,5 kilos pris en moyenne par les Français pendant le confinement (2,7 chez les hommes, 2,3 chez les femmes). Résultat : 54 % des Français sont insatisfaits de leur corpulence en ce moment [1].
Retrouver sa première jeunesse, tel était l’objectif affiché le 11 mai. Ça peut sembler paradoxal, car tout au long du confinement, on a joué comme des vieux. On a fait un voyage dans le temps. On ne comprenait pas grand-chose du présent, on était inquiets de l’avenir, alors on s’est réfugiés dans le passé et dans des loisirs anciens, dans un temps où finalement tout allait bien.
On a consommé de l’ancien. Tout le monde a regardé Dirty dancing, les films de Louis de Funès et des vieux matchs de foot. On a aussi joué à l’ancienne, à la Bonne Paye et au Monopoly : durant la première semaine de confinement, chose inédite, la liste des dix jouets les plus vendus comportait dix jeux de société et puzzles. Comparées à la même semaine en 2019, les ventes de puzzles ont affiché une croissance de 122 % tandis que les jeux de société enregistrent une hausse des ventes de 83%. Dans le top cinq des ventes, on retrouve des grands classiques, anciens : Monopoly, Bonne Paye, Scrabble, Uno, puzzles [2].
Nouveau monde, nouveau monde. Mon c.. !
Est-ce que cet esprit vintage va demeurer ? On verra. On constate quelques éléments, comme le retour des cinémas drive-in, vous savez, le truc que vous voyez dans les films d’époque, ces projections en plein air où les spectateurs restent dans leur voiture. Le site Usbek & Rica nous apprend que le premier Drive-in Festival a eu lieu samedi 15 mai à Bordeaux [3]. Enfin un endroit pour ne plus voir de cyclistes en cuissards qui nous pourrissent la vue et la vie depuis le 11 mai. Puissent ce type d’initiatives se poursuivre partout où les cyclistes sont devenus les rois du pétrole.
Et pourtant, mes petits vieux, vous allez – et vous avez déjà – toutes et tous replonger dans le bain de jouvence. C’est d’ailleurs un premier élément notable. Nouveau monde, nouveau monde. Mon c.. !
Notre amour pour la jeunesse (je ne parle pas des femmes, pas tout de suite en tout cas) et à ses standards a vite refait surface. D’ailleurs, ne nous y trompons pas. On a tâché de rester jeune, aussi, pendant le confinement. Selon les données de l’IRI, les Françaises et les Français (retour aux expressions de l’époque, désolé) ont fait preuve de débrouille pour rester jeunes : pour compenser la fermeture des salons de coiffures : + 45 % d’achats de produits de coloration dans les grandes surfaces alimentaires entre le 16 mars et le 26 avril 2020 par rapport à la même période l’année dernière. Pour gérer la fermeture des instituts de beauté : +50,6 % d’achats de produits épilatoires entre 2019 et 2020 [4].
D’ailleurs, le magazine Elle nous donne des conseils importants en cette sortie de confinement pour conserver cette jeunesse post Covid. Grâce à la comédienne Sofiia Manousha, on apprend qu’il n’y a rien de telle que l’eau de rose et la Beauty food (dont elle est passionnée) pour rester jeune et belle :
« Que je sois en tournage, en voyage de presse ou chez moi, ma routine est toujours la même. J’ouvre les yeux vers 7 heures, puis je file dans la salle de bains. Je vaporise de l’eau de rose sur mon visage, je brosse mon corps à sec [[pratique ayurvédique qui consiste à passer une brosse sur tout le corps, de bas en haut et sur peau sèche]], excellent pour la stimulation lymphatique, puis je fais ma gym du visage avec mon « gua sha » (…). Après tout ça, j’avale mon Beautyfuel Morning Elixir, c’est à dire de l’eau chaude infusée au gingembre » [5].
Si avant cette chronique, tu ne savais pas ce que signifiait « pratique ayurvédique » et « stimulation lymphatique » et que t’avais jamais bu de « Beautyfuel Morning Elixir », c’est que t’as déjà un peu raté ta vie, chérie.
La grande déglingue manque à l’appel
Trêve de plaisanterie, passons aux choses sérieuses. Les jeunes, après avoir enfilé vos plus beaux habits, comment s’est passée cette fameuse et très attendue rentrée des classes ?
Premièrement, et j’en suis navré, il ne s’est pas passé ce qu’on attendait et ce qu’on espérait avec Ernest depuis le début du confinement. Le sanitairement correct a gagné, la grande déglingue de la sortie n’a pas eu lieu. L’obsolescence des relations sociales dont parlait Michel Houellebecq [6] a terminé de tisser sa toile. Les jeunes sont tout aussi – voire plus – angoissés que les vieux. Et attention à ne pas trop vous rebeller, au risque qu’on vous qualifie d’individualistes ou d’inconscients trop amoureux de liberté. J’aimerai vous dire qu’on est encore libre de pisser où on veut. Or, même cela est mis à mal mes chers amis.
Le site de C news a l’élégance de pointer le problème dont personne ne parle : Déconfinement : où faire pipi à Paris ? : « Alors qu’en temps normal, trouver un endroit dans Paris pour soulager une envie pressante peut paraître compliqué, en cette période de déconfinement, où les bars, les restaurants, et les grands centres commerciaux, restent pour l’heure fermés, cela peut devenir un vrai casse-tête »[7].
Deuxièmement, au-delà des questions de pipi, si vous avez cru à un nouveau monde, vous pouvez aller vous rhabiller. Les citoyens sont devenus des clients. On attend les clients par-ci, on veut les clients par-là. Le mot « client » a envahi l’espace public et médiatique depuis la sortie du confinement.
Avec Johnny, chacun cherchait son cœur :
Avec Klapish, chacun cherchait son chat :
Avec Covid, chacun cherche son client.
C’était mieux avant.
Et si vous n’aviez pas bien compris le retour du client, Le Figaro vous le rappelle : « Les Français doivent vite dépenser leur argent, sinon ils perdront leur boulot » [8].
Troisièmement enfin, pour bien comprendre comment s’est passée la rentrée des classes, il faut parler du retour des cours. Enfin des cours, entendons-nous bien. Plutôt la basse-cour, le phénomène de cour et la fausse cour.
Le retour de la basse-cour d’abord. On peut le comprendre. Beaucoup d’individus sont désœuvrés à l’issue de ces 55 jours de prison. « La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres » écrit Stéphane Mallarmé au début de Brise Marine [9]. Pour nombre d’entre nous, il s’agissait donc de trouver de nouvelles activités car on commençait à tourner en rond.
On a donc retrouvé quelques fondamentaux : on se met à commenter et à mettre beaucoup d’énergie pour parler d’un appel téléphonique d’une importance capitale du Président de la République à Jean-Marie Bigard [10], on s’engueule comme des fous à propos du Puy du Fou comme si l’avenir du monde dépendait de sa réouverture [11], et les déclarations d’une chanteuse qui se prend pour Balavoine face à Mitterrand [12] et rendue célèbre pour une chanson aux paroles si profondes et si prophétiques de la génération confinement (« Non non non non , je ne veux pas boire un verre, non non non non, je ne veux pas prendre l’air ») font vaciller la République.
Pas de doute, c’est bien le signe d’un pays en guerre. Bon sang, le Roi a passé un coup de fil à son bouffon. Quelle honte. Scandale. Démission. Des milliers de personnes vont perdre leur emploi. Mais ce qui se joue là est l’avenir de la France et la marche du monde. C’est donc normal que ce soit partout. Les Français ne comprendraient pas qu’on n’en parle pas.
Vous vous sentez perdu ? Je vous comprends. Orelsan l’avait prévu :
« J’aimerais retrouver la magie du début ; Rien n’fonctionne quand l’cœur n’y est plus
Ça fait mal à la fierté, j’ai du mal à l’admettre ; Mais j’ai jamais été aussi perdu
Le monde est un PMU ; Où n’importe qui donne son mauvais point d’vue »
Passer des débats de confinement à ceux du déconfinement c’est comme passer d’un gastro à un McDo
Vous reprendrez bien une Suze les petits choux ?
Et oui, passer subitement des débats de confinement aux débats post-confinement, c’est passer d’un gastro à un Macdo ; ça vous donne un peu l’impression de quitter une soirée intelligente et instructive pour rejoindre subitement un colloque sur l’intérêt du chauffage au sol, où là ça ne rigole plus du tout car on traite quand même de sujets importants.
Le délicieux Fabrice Caro, connu pour l’album Zaï zaï zaï zaï [13], en parle très bien dans son roman Le discours [14] (Ernest vous en parlait ici), alors qu’il boue intérieurement lors d’un déjeuner de famille car il attend un sms de celle qu’il aime (aucun sujet n’est plus important que celui-ci) avec laquelle il est actuellement « en pause » :
« Les avantages du chauffage au sol, est-ce qu’il n’y a pas d’autres sujets à aborder que ça ? Tu crois vraiment qu’on est obligés de parler des avantages du chauffage au sol, Sophie ? Avec tout ce qu’il se passe dans le monde, les attentats, les conflits, la menace nucléaire (…) ? On frôle l’obscénité. Pourquoi me parler de ça à moi ? Qu’est-ce que je t’ai fait ? Tu irais parler du chauffage au sol aux sinistrés d’un cyclone en Haïti ? À des migrants bloqués à Calais ? Ça change quoi que le chauffage soit au sol, au plafond, au mur, derrière la mairie, à la cave ? Ça change quoi à la marche du monde ? ».
Les phénomènes de cour sont également de retour en cette rentrée des classes. Au travail, en politique, ou dans la vie tout court. Et oui mes amis. Ce n’est pas un monde plus solidaire qui s’ouvre, mais un monde où chacun va défendre sa place, surtout dans les bullshit jobs. C’est ainsi. Vous allez vous faire manger si vous ne respectez pas quelques adages de Baltasar Gracian, auteur de L’homme de cour :
« Le plus court chemin pour devenir grand personnage est de savoir choisir son monde » ;
« C’est un grand art que de vendre du vent. ».
Enfin, le retour à la liberté depuis le 11 mai donne à voir la persistance de la cour amoureuse. Ou plutôt de la fausse cour amoureuse. Alors que vous pensiez efficacité, rapidité et pragmatisme, vous vous rendez compte que les anciennes pratiques demeurent.
On continue à se « ghoster », et donc à s’angoisser du message lu mais sans réponse. Ce sentiment que décrit le même Caro dans Le discours :
« Je ne comprends pas, je ne comprends pas comment on peut lire un message à 17h56 et ne pas y répondre. Il y a quelque chose qui s’appelle la politesse, tu en as entendu parler, Sonia ? (…) J’y pense, si elle a eu assez de batterie pour lire mon message, elle en avait assez pour répondre, ne serait-ce qu’un simple : « Je te réponds plus tard » ».
Et quand vous arrivez malgré tout à intégrer l’une des rares soirées clandestines où vous pouvez draguer devant des cakes salés (vous avez constaté que nous sommes restés sur le « faire maison » alors que le confinement est clos ?), vous avez tendance à avoir les yeux plus gros que le ventre. Le Premier ministre avait dit « Pas plus de trois personnes maximum ». Vous l’avez pris à la lettre. Mais Orelsan, toujours lui, vous avait pourtant prévenu, une fois encore :
« Un jour j’ai ramené deux meufs, c’était nul. Ça m’a rappelé que j’avais du mal avec une » :
Conclusion : le retour de la basse-cour, du phénomène de cour et de la fausse cour amoureuse rend assez détestable la liberté retrouvée. Pour tenir bon mes amis, il faut donc laisser les cours précédemment citées derrière vous. Elles n’apportent rien. Vous font perdre temps et énergie.
Il faut laisser ces cours derrière vous pour n’adopter que la cour d’école. La seule qui vaille. L’esprit d’enfance en somme.
Attention, on parle d’esprit d’enfance, pas d’enfance. L’idée n’est pas de retrouver ni l’école ni la cantine (les enfants ont dû être enchantés de retrouver leurs plats favoris : filet de poisson et riz de Camargue ; julienne de légumes Sodexo et langue de bœuf).
Il ne s’agit pas non plus de rester en télétravail chez papa et maman comme ont fait tous ces Tanguy du confinement de retour à la maison [15]. Pour surmonter ce retour à la liberté qui peut donner envie de pleurer, il faut retrouver l’esprit du débutant. Pour survivre au sanitairement correct et au retour du théâtre et du spectacle affligeant, où les inutiles de 55 jours se remettent à penser qu’ils seront les utiles de demain, il faut retrouver notre capacité d’étonnement.
Dans un merveilleux essai intitulé Esprit d’enfance [16] publié en 2017, le philosophe Roger-Pol Droit nous invite à retrouver à travers différents jeux, souvenirs d’enfances et exercices notre esprit d’enfance. L’esprit d’enfance n’est pas l’enfance. L’enfance est temporelle, circonscrite, c’est « la période de la vie humaine allant de la naissance à la maturité ». Nous avons été enfants. Nous ne le sommes plus. Au contraire, ce qu’il appelle « esprit d’enfance » n’a de limites ni dans le temps ni dans l’espace. C’est une « réserve de vie, de création » qui demeure même après l’enfance.
Dans ce beau livre, il nous invite à nous exercer, à pratiquer cet esprit d’enfance, comme on pratique une langue, un sport, une discipline…
« J’appelle esprit d’enfance une façon d’être au monde qui n’a rien à voir avec les ans ni avec les compétences. Un regard qui s’étonne, qui ne sait pas parler de ce qu’il voit, ou bien n’en parle pas habilement ni savamment. Une sensibilité que les émotions submergent, saturent, bouleversent, sans possibilité de prendre ses distances. (…) Une faiblesse et une force démesurée ».
Pour Roger-Pol Droit, l’esprit d’enfance, c’est singer, c’est perturber le sérieux en « jouant sans fin ». C’est se détacher des évènements et sortir de la maîtrise de soi, c’est se laisser aller à ses émotions. C’est se marrer quand notre tasse de café déborde car on a n’a pas arrêté la machine pour cause de sms hyper important auquel il fallait répondre ; c’est ne pas s’énerver alors qu’on ouvre notre poche et que l’on s’aperçoit que notre gel hydro-alcoolique s’est malencontreusement ouvert et a mis du liquide partout.
Perturbons le sérieux
C’est observer quelque chose, mais ne pas savoir en parler avec précision. Dans son livre, il nous incite à fixer des objets, des choses et à tenter de les décrire de façon spontanée : « Essayez avec une tisane, un alcool (…), l’odeur du cuir dans une vieille Bugatti. La liste par définition est infinie. Et l’échec assuré ! Vous n’aurez toujours que des approximations, des mots à côté, des grosses cases qui ratent la nuance, le réel, la chose même, sa teinte juste, son exacte réalité. Ce n’est pas votre faute. Le langage lui-même est ainsi ».
Observer et décrire le banal avec amusement, même si on ne trouve pas les mots les plus savants, c’est ce que fait divinement Francis Ponge. Dans son Grand recueil publié en 1961 chez Gallimard, entre un texte sur les magnolias, les danseuses et la grenouille, il nous fait la description du crottin :
« Brioches paille, de désagrégation plutôt facile, fumantes, sentant mauvais. Écrasées par les roues de la charrette, ou plutôt épargnées par l’écartement des roues de la charrette. L’on est arrivé à vous considérer comme quelque chose de précieux. Pourtant, l’on ne vous ramasserait qu’avec une pelle. Ici se voit le respect humain. Il est vrai que votre odeur serait un peu attachante aux mains. En tout cas, vous n’êtes pas du dernier mauvais goût, ni aussi répugnantes que les crottes du chien ou du chat, qui ont le défaut de ressembler trop à celles de l’homme, pour leur consistance de mortier pâteux et fâcheusement adhésif ».
Ma proposition : plutôt que de parler de Bigard qui appelle Macron, décrivons plutôt le crottin. C’est bien pour une époque de merde. Et ça reste enfantin.
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Toutes les chroniques de Jérémie Peltier sont là.
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[1] « Quel est l’impact du confinement sur le poids et les habitudes alimentaires des Français », Ifop pour Darwin Nutrition, 6 mai 2020 : https://www.ifop.com/publication/quel-est-limpact-du-confinement-sur-le-poids-et-les-habitudes-alimentaires-des-francais/
Et l’étude complète ici : https://www.darwin-
[2] « La première semaine de confinement propulse les jeux de société et les puzzles au sommet des ventes en France », NPD Group, 31 mars 2020 : https://www.npdgroup.fr/wps/portal/npd/fr/actu/communiques-de-presse/la-premiere-semaine-de-confinement-propulse-les-jeux-de-societe-et-les-puzzles-au-sommet-des-ventes-en-france/
[3] « Après le confinement, le grand retour des cinémas drive-in ? », Pablo Maillé, Usbeck & Rica, 12 avril 2020 : https://usbeketrica.com/article/apres-le-confinement-le-retour-des-cinemas-drive-in
[4] « La consommation en confinement », IRI France, jeudi 7 mai 2020
[5] Elle, 22 mai 2020
[6] « Je ne crois pas aux déclarations du genre : « rien ne sera plus jamais comme avant », Michel Houellebecq, France inter, 4 mai 2020 : https://www.franceinter.fr/emissions/lettres-d-interieur/lettres-d-interieur-04-mai-2020
[7] « Déconfinement : où faire pipi à Paris ? » C News, 25 mai 2020 : https://www.cnews.fr/france/2020-05-25/deconfinement-ou-faire-pipi-paris-960476
[8] Jean-Pierre Robin, « Les Français doivent vite dépenser leur argent, sinon ils perdront leur boulot », Le Figarovox, 24 mai 2020 : https://www.lefigaro.fr/vox/economie/les-francais-doivent-vite-depenser-leur-argent-sinon-ils-perdront-leur-boulot-20200524
[9] Stéphane Mallarmé, Brise marine, 1842-1898
[10] Quand Emmanuel Macron appelle Jean-Marie Bigard, énervé que les bars soient fermés, L’Obs, 24 mai 2020 https://www.nouvelobs.com/societe/20200524.OBS29247/quand-emmanuel-macron-appelle-jean-marie-bigard-enerve-que-les-bars-soient-fermes.html
[11] Le Puy du Fou, théâtre d’une montée de tensions au sommet de l’Etat, Le Figaro, 24 mai 2020 : https://www.lefigaro.fr/politique/le-puy-du-fou-theatre-d-une-montee-de-tensions-au-sommet-de-l-etat-20200524
[12] « Camélia Jordana invite Christophe Castaner à débattre en direct », Le Huffpost, 25 mai 2020 : https://www.huffingtonpost.fr/entry/camelia-jordana-invite-christophe-castaner-a-debattre-en-direct_fr_5ecb604dc5b66ddcaf0f09de?utm_hp_ref=fr-homepage
[13] Fabcaro, Zaï, Zaï, Zaï, Zaï, Six Pieds Sous Terre, 2015
[14] Fabrice Caro, Le discours, Gallimard, 6 février 2020
[15] « En télétravail chez papa-maman : les Tanguy du confinement témoignent », Welcome to the Jungle, 15 avril 2020 : https://www.welcometothejungle.com/fr/articles/confinement-retour-actifs-parents?utm_content=bufferecd48&utm_medium=social&utm_source=facebook&utm_campaign=buffer
[16] Roger-Pol Droit, Esprit d’enfance, Odile Jacob, 2017
[…] nous avoir donné la clé philosophique pour échapper aux débats imbéciles en cultivant notre esprit d’enfance, Jérémie Peltier nous invite désormais à être toujours les enfants de nos mamans. Avec un […]