Dans sa 7ème chronique depuis le confinement, Jérémie Peltier convoque Fitzgerald, Moravia, et Menélik pour nous parler du couple, des célibataires, de nos problèmes d'hygiène. C'est plein de littérature, de sociologie, et de finesse. Régalez-vous.
Jérémie Peltier met le doigt sur ce qui nous manque profondément : les amis. Nos amis. Dans une danse amoureuse et amicale, il leur rend hommage et dresse le projet des retrouvailles. C'est vibrionnant.
Le confinement est une période entre parenthèses. C'est un fait. Parenthèses de vie. Mais aussi de choses bien plus intéressantes. Jérémie Peltier nous raconte.
Le sens du mot est perverti. Les mots sont pervertis. Ils nous manquent à cause du confinement. Heureusement, Jérémie Peltier recherche le mot juste et le trouve. ça va ?
Pour éviter de sombrer dans la déglingue la plus totale du confinement, Jérémie Peltier a une solution : la journée de la flamme. Kezako ? Réponse dans la chronique.
Après nous avoir démontré à quel point le confinement serait favorable à notre capacité de "conclure", Jérémie Peltier s'interroge sur l'importance des souvenirs et des odeurs en période de solitude. Enlevé et drôle.
Alors que le confinement est là, Jérémie Peltier nous invite - pour survivre à jouir. Mais pas tout seul. Aussi, il prépare déjà l'après et nous fait rêver.
Et si la société où il faut tout réserver supprimait totalement le hasard annihilant ainsi une grande partie de notre liberté ? Éléments de réponse littéraires.