Guillaume Musso, celui que certains critiques vilipendent continuellement, continue de creuser son sillon. Sans se soucier réellement de certains reproches. Avec une ambition réelle et affichée : celle de raconter des histoires. Des bonnes de préférences. Ses trois derniers livres ont marqué un tournant. Désormais, Musso a décidé de se tourner vers le roman noir, le thriller, et l’envie de tenir en haleine son lecteur en le plongeant dans différents univers. Ses influences, dit-il, sont à chercher du côté d’Alfred Hitchcock mais aussi de Jean-Christophe Grangé.
Son dernier roman, “Un appartement à Paris”, met en scène Madeline et Gaspard, deux écorchés vifs qui décident de se mettre à enquêter sur un peintre disparu : Sean Lorentz. Mené à vitesse grand V, ce bouquin se dévore et n’a pas d’autres prétentions que celle de faire passer au lecteur un moment de détente. Pari réussi. Avec un certain brio.
A l’occasion du Salon de Saint-Maur en Poche, Guillaume Musso qui était l’un des 252 auteurs invités est passé sur le stand d’Ernest. L’occasion de livrer, en exclusivité, son soutien à la conception du décloisonnement des genres littéraires portée par Ernest, mais aussi de livrer en exclusivité ses livres de chevet. Rafraichissant et étonnant.
[…] Les livres de chevet de Guillaume Musso […]