Le "Petit cochon" est de retour. Les mots comme outils de fantasme et de plaisir. Pour sa chronique littéraire et érotique mensuelle, Virginie Bégaudeau a choisi de nous faire voyager. Cela en partant au Japon et en Chine. Cela en invitant le lecteur à entrer dans les sensualités orientales et à se laisser porter par la liberté et l'érotisme sans limites de l'onirisme nippon. Exquis.
L'homme qui ne vécut que pour aimer - Ihara Saikaku
L’érotisme nippon peut être aussi onirique que violent. Méconnue mais non moins riche, la littérature japonaise met les sens à l’honneur, l’enveloppant d’une mise en scène toujours plus surprenante. Entre voyage et mœurs souvent dissolues, j’ai adoré m’immerger le temps de quelques pages au cœur de cette culture luxueuse et luxurieuse.
Avec le célèbre roman de Saikaku publié au XVIIe siècle, j’ai choisi de voyager dans le monde des plaisirs. J’ai tenté d’accéder à cette culture de l’époque Edo sublimée par la plume de l’auteur, ancien marchand qui se consacra à l’écriture à la mort de sa famille.
Le sexe sublime l'histoire et transporte
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