Un livre peut changer la vie des gens. Nous en étions, comme vous, convaincus. Grâce à James Rebanks, nous en avons une preuve supplémentaire. Dans son récit sensible "Une vie de Berger", James Rebanks raconte son parcours, sa vie, sa relation aux animaux, mais aussi son rapport aux livres. Pour Rebanks, les livres sont essentiels à la vie. Il avait donc toute sa place sur Ernest. Rencontre Skype avec le berger qui lisait. Quand on vous dit que tout le monde peut parler de livres.
« Je suis un obsédé de livres. Quelqu’un qui a foi dans l’écrit. Soudain ma chambre s’est remplie de dizaines de livres. Vous pouvez avoir une idée de la quantité de livres que j’ingurgitais d’après la fréquence à laquelle notre ami George le menuisier venait chez nous pour installer de nouvelles étagères ». Ces mots sont signés James Rebanks. Il écrit aussi : « Dans notre pub, il y avait de part et d’autre de la cheminée où s’alignaient des que personne ne lisait, une sorte de papier peint décoratif. Il m’avait d’en prendre un qui avait attiré mon regard. Discrètement, je demandais au patron si je pouvais l’emprunter et je le fourrais dans ma poche sans qu’on me voie. Ce n’était pas « cool » d’aimer les livres ».
"Dans mon milieu, c'était pas cool d'aimer les livres"
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