Ernest poursuit son anti-journal de confinement en interrogeant des auteurs et des autrices sur ce que cette période produit sur eux. Après Olivia Elkaim, après le papier de Laurent-David Samama, aujourd’hui c’est Diane Brasseur qui nous raconte. Si elle se remet doucement à écrire, ce n’est pas vraiment pour un roman, mais pour une commande qu’on lui a passé. Sinon, elle n’en serait pas capable.
Photos Patrice Normand
Nous avons l’image d’Epinal de l’écrivain qui pour écrire et pour créer se confine. Alors, ce confinement, idéal pour créer ou destructeur ?
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