Mort à la poésie #25 – Vladimir Maïakovski

Vladimir Maïakovski – À pleine voix – Poésie / Gallimard 2005

Salut à vous,

J’aimerais consacrer ce mois de mars aux poètes russes, ma façon de m’approprier les nombreuses commémorations passées et à venir et l’actualité prégnante de ce pays dont les auteurs, les romanciers, les dramaturges, les poètes, ont tant donné à l’humanité, parfois au risque de leur vie. Rares sont les pays où la création artistique et littéraire a pu avoir une influence si grande sur les événements politiques et populaires, rares sont les littératures à avoir autant traversé les frontières et les esprits.

Engagé et visionnaire

Je commence avec la poésie de Vladimir Maïakovski, le plus furieux, le plus engagé, le plus visionnaire sans doute, écorché et foudroyant. J’ai découvert sa poésie alors que j’étais adolescent, et à la relire aujourd’hui, je me dis que sa force, sa puissance, sa détermination, ont tout à apprendre aux insoumis d’aujourd’hui. Je vous lis un texte qu’il a écrit en 1922 et qui s’intitule La Quatrième Internationale, la traduction est de Claude Frioux, on le trouve dans l’anthologie publiée en Poésie / Gallimard.
À la semaine prochaine.

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